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"Mademoiselle", ou l'âge des femmes

 Longtemps, j'ai tourné autour du terme "mademoiselle". En parler dans le blog, ou pas ? Jusqu'au jour où je suis tombée s...

Le saviez-vous ? Les femmes n'existent pas (les hommes non plus)

 
Au Commencement, était une humanité partagée entre hommes et femmes.
Ou, si vous préférez, entre femmes et hommes.
Bref, en deux sexes.
Bref, en duo bio à l'origine du monde.
Autour duquel se construisaient les genres, dans leurs infinies variations, leur grande diversité.
 
Et aux Temps Présents ? 
Toutes ces histoires de dualité sexuelle, ce serait dépassé, une vieillerie patriarcale.
Une invention, une illusion, une oppression. A faire disparaître.
Délivrez-nous du boulet biologique. 
 
Oui, mais à qui profiterait cette Grande Disparition ? A pas grand-monde.


Au Commencement et Au-Delà, les femmes, les hommes, et plus si affinités


Comme beaucoup d'autres espèces animales, l'espèce humaine repose sur le dimorphisme sexuel : elle se partage entre mâles et femelles, plus communément dénommés hommes et femmes (femmes et hommes si vous y tenez).
Le constat ne tombe pas du ciel, ni de diktats idéologiques.
Il résulte d'observations anatomiques et scientifiques, aux conclusions précises : 
 
Nos gènes déterminent la différenciation entre les deux sexes. 
L'ensemble des chromosomes d'une cellule humaine - caryotype - en comporte 23 paires.
Une paire de ces chromosomes détermine le sexe biologique chez l'humain, soit XX pour les femmes, XY pour les hommes.
D'autres données naturelles contribuent à différencier les deux sexes, entre autres la répartition des hormones. La testostérone domine chez les hommes, les œstrogènes et la progestérone chez les femmes. 
A leur tour, ces profils hormonaux spécifiques participent aux différences anatomiques sexuées, concernant en particulier les organes génitaux.
 
La dualité sexuelle repose sur des données biologiques et physiologiques : génétiques, hormonales et anatomiques.
Néanmoins, la frontière entre masculin et féminin n'est barrée d'aucun Mur de Berlin, au contraire, diverses passerelles la traversent.
 
• Caractéristiques sexuelles biologiques brouillées :
 
Dans de très rares cas, les trois sexes, chromosomique, hormonal et anatomique, ne coïncident pas. Des individus à l'anatomie masculine se découvrent génétiquement féminins.
Ou d'autres se révèlent intersexués (hermaphrodisme). En raison de dysfonctionnements hormonaux, ils présentent des organes génitaux à la fois féminins et masculins.

• Sentiment d'appartenance à un sexe différent du sexe biologique :
 
Le sexe "psychique" (conviction d'appartenir à l'un ou l'autre sexe) ne correspond pas aux attributs sexuels biologiques. Ce sentiment profond d'appartenir au sexe opposé à celui constaté à la naissance correspond au transsexualisme. Si la cause de ce décalage demeure à ce jour mystérieuse, depuis 2019, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ne considère plus comme une maladie cette caractéristique, qu'elle définit comme une "divergence marquée et persistante" entre genre ressenti et sexe de naissance. On parle désormais de  transidentité ou de dysphorie de genre et le terme transgenres - ou trans - désigne les personnes concernées.

• Les infinies variations du genre :

Fillettes en rose, garçonnets en bleu.
Filles aux cheveux longs, garçons en tignasse courte.
Femmes en jupe, hommes en pantalon. 
Madame à la cuisine, monsieur au salon devant la télé.
Papa lit, maman coud.
Etc. Etc. Etc.
 
La notion de genre désigne des comportements, des rôles, des statuts différenciés, supposés appropriés au masculin ou au féminin. A ce titre, ils contribuent à définir l'identité sexuelle.
Tout en relevant de conventions sociales, culturelles parfois rigides, souvent inégalitaires.
Ces standards varient sans cesse : selon les sociétés, lieux, époques. Jouent à saute-mouton entre les sexes.
Entre autres (nombreux) exemples, le maquillage, pratique ancestrale, ou la longueur des cheveux n'appartiennent ni au genre masculin ni au genre féminin, mais aux deux, selon époques et géographie. De même que les modes vestimentaires, souvent genrées, parfois unisexes, toujours fluctuantes.
Ou les comportements violents, loin d'être un monopole masculin. Ou, ou, ou...
Les sociétés occidentales actuelles tendent à affranchir femmes et hommes des normes genrées, à "déconstruire" les stéréotypes, dégenrer (jouets, vêtements, métiers, cours de récréation, éducation, etc.). Elles bousculent la rigidité binaire du genre, ne jurent que par sa " fluidité".
 
"Des garçons au féminin
 Des filles au masculin"
(Indochine) 
 
L'identité sexuelle, produit d'un enchevêtrement de composantes biologiques, sociales, psychologiques et de leurs interactions permanentes, se révèle parfois chaotique, toujours complexe. 
 
Vous allez me dire : cette complexité dans la différenciation sexuelle, c'est passionnant, c'est grisant, c'est stimulant, c'est...
Comment osez-vous ? How dare you ? Bande de réacs.
La différence biologique sexuelle, ce machin dépassé, ce truc oppressif.
Faisons simple, faisons table rase.
Supprimons-la.

 Aux Temps Présents, la Grande Disparition des femmes (et des hommes)

 
Définir les femmes et les hommes sur la base de leurs distinctions biologiques (chromosomiques, hormonales, anatomiques) ? De la binarité biologique
Quelle horreur rétrograde, patriarcale et hétéronormative. Poubelle.
Et délivrez-nous du mal (du mâle aussi), du boulet biologique je veux dire.

• Qu'on se le dise, les différences biologiques sexuées, c'est surtout du pipeau. Surtout le fruit de pratiques sociales discriminantes (à l'encontre des femmes).
Il est impératif de mettre fin à cette illusion, cette impasse : la division binaire - et hiérarchisée - entre masculin et féminin.
Il est capital de se libérer de la dualité sexuelle comme réalité naturelle, donnée biologique.
Eveillez-vous ! Réveillez-vous ! La perception du sexe comme une donnée biologique est une fable contemporaine, une assignation arbitraire, une norme sociale et médicale, infernale machine à scinder l'espèce humaine en deux catégories tristement binaires, honteusement inégalitaires : mâle et femelle.
Soyons modernes, abandonnons cette vision ancestrale d'une supposée différence des sexes.
Soyons progressistes, jetons aux orties ces genres imposés "hommes" et "femmes", ces conventions culturelles réductrices.
 
Les paramètres sexuels biologiques sont surfaits, obsolètes. Vous voulez savoir si quelqu'un est un homme ou une femme ? C'est simple, demandez-lui


Vous persistez à vous cramponner au fondement biologique des différences sexuées ? Comment osez-vous ? How dare you ?
 
• Vous validez l'enfermement des femmes dans des rapports de domination imposés par l'hégémonie hétéro-patriarcale.  Dans des rôles sociaux liés à la partition normative et binaire homme/femme.
Vous refusez d'admettre que les catégories traditionnelles du genre constituent essentiellement un alibi, un rempart de la justification des inégalités naturelles. Que les différences physiologiques entre hommes et femmes ne résultent pas d'une nature singulière, mais, avant tout, d'interactions et de stratégies inégalitaires.
Regardez la réalité en  face : au nom d'un prétendu ordre "naturel", c'est l'ordre patriarcal que vous défendez, la domination d'une moitié de l'humanité sur l'autre, les discriminations sexistes.
Comment osez-vous ? 
 
• Vous privez les personnes transgenres, y compris les mineurs transgenres, de la liberté de vivre leur identité de genre, vous entravez la reconnaissance des transidentités.
Vous interdisez aux personnes trans de se prévaloir de leur ressenti identitaire personnel, vous entravez leur volonté de changer légalement de sexe.
En vous entêtant à insister sur les différences sexuelles biologiques, vous les excluez :
Des droits d'accès à des espaces, des services, des activités (notamment sportives).
D'une citoyenneté pleine et entière, d'une existence apaisée, sans discrimination ni violence, dans le cadre privé ou dans l'espace public. Vous leur barrez l'entrée dans la communauté humaine générale.
En conséquence, vous êtes transphobes.
Comment osez-vous ?


Faire disparaître la part biologique dans la détermination de l'identité sexuelle effacerait les discriminations, au bénéfice de l'humanité en général, des femmes et des minorités sexuelles en particulier.
C'est séduisant.
Dommage, c'est inexact.


La Grande Disparition du sexe biologique, progrès illusoire, régression assurée


Balayer tout paramètre sexuel biologique au profit d'une identité de genre      autodéterminée : Grand Bond en Avant ? Plutôt régression pour ...beaucoup de monde.

•  Pour les femmes
 
- On vous a raconté - et vous l'avez cru - qu'elles sont pourvues d'organes génitaux spécifiques, menstruées durant une partie de leur vie, peuvent - le plus souvent - tomber enceintes, accoucher, allaiter. Qui ça ? Les femmes ?
Ce terme est problématique voyez-vous, dégoulinant de biologie genrée, il exclut les personnes transgenres, il exclut les non-binaires. 
Merci d'être inclusifs (inclusif.ve.s), merci d'éviter le mot "femme" comme la peste.
Et d'employer les dénominations appropriées : personne qui a un utérus, personne qui a ses règles, personne menstruée, personne à vulve, personne qui accouche. Ou encore : corps avec vagin, personne enceinte.
(Ce qui rappelle l'expression - très - désuète "personne du sexe" qui désignait parfois les femmes, un ou deux siècles auparavant ! On n'arrête pas le progrès.)
En voilà une belle cape d'invisibilité jetée sur les femmes. Non, il ne s'agit pas de la burka afghane. Mais d'une évolution progressiste, sachez-le.
Grâce à laquelle disparaissent "Madame", "Monsieur". Et surtout "femme", ce vocable discriminant.
Si vous désapprouvez cette disparition "inclusive", votre procès sera expéditif et le verdict sans appel : vous êtes transphobe.
 
Plus de femme ? Plus de féminisme. Joie ! Paix ! Allégresse ! Fin des polémiques sur ce mouvement, sur ses évolutions plus ou moins erratiques (fin de ma modeste contribution à ce sujet sur ce blog). Problème réglé. Quel progrès.
 
Patrick Juvet disque vinyle

 
-  Désormais, des sportives transgenres (nées hommes) sont autorisées à participer à des compétitions féminines. Certaines restrictions concernant leur taux maximal de testostérone viennent d'être levées.
Une controverse fait rage : 
Il importe d'offrir un environnement "équitable et inclusif" à toutes les athlètes, trans comprises. Il ne faut pas discriminer !
Oui, mais ignorer les avantages physiologiques de sportives nées hommes n'est ni équitable ni inclusif envers leurs concurrentes nées femmes, qu'il ne faut pas    discriminer !
Je m'abstiens de trancher ici cet épineux débat, dans lequel nous ne semblons pas disposer à ce jour de données suffisantes pour tirer des conclusions définitives.
Je me hasarde juste à une observation.
Equipe de l'opposition à la discrimination des sportives trans : ouverture d'esprit. Bravo.
Equipe de l'inquiétude sur une discrimination des sportives "cisgenres" (nées et restées femmes) : transphobe, quasi facho. Vous n'avez pas honte ? Etc.
Score : dans tous les cas, femmes perdantes. Des compétitions sportives, ou des combats dernier cri pour la "modernité". Quel progrès.
 
-  Des mécanismes de santé spécifiques s'appliquent à chaque sexe.
Tout en tenant compte des interactions entre biologie et environnement sociétal, la recherche médicale doit prendre en considération l'influence du sexe sur la santé, qui s'étend à tous les champs de la médecine. 
Cette influence sur la fréquence et la sévérité de nombreuses maladies, ainsi que sur l'efficacité de leurs traitements, demeure trop souvent ignorée par la recherche médicale et les essais cliniques, souvent au détriment des femmes.

Le refus "inclusif" de toute différence sexuelle biologique contribue à réduire le bénéfice des avancées de la science médicale au détriment d'une moitié de l'humanité. Quel progrès.

• Pour les enfants
 
Chaque personne pourrait définir et affirmer son identité de genre fondée sur son "ressenti". Au diable la biologie.
Un enfant, un(e) adolescent(e) se questionne sur son genre ? Ressent mal-être, souffrance, désarroi ? Subit harcèlement et maltraitance de ses camarades ?
Sans attendre, facilitons ses changements de prénom, d'état civil.
Gavons-le d'hormones avant l'adolescence, c'est permis. Un protocole médical remboursé par la Sécurité sociale, et le tour est joué, l'épanouissement de l'enfant assuré.
 
Au nom de l'identité "autodéterminée" débarrassée du carcan biologique "oppressif", des enfants, des adolescents, sont incités à s'empiffrer de médicaments, de substances chimiques, d'hormones (la biologie virée par la porte revient par la fenêtre...). Aux effets prétendument réversibles, peut-être nocifs à long terme, en tout cas incertains.
Sans cadre juridique précis (en France par exemple, les mineurs échappent au scalpel chirurgical par la seule grâce de recommandations d'associations internationales).
Le plus souvent sans accompagnement psychique, psychologique, ni du mineur, ni de ses parents. 
En occultant les complexités du psychisme, de l'environnement familial, social, culturel. Le tout chez des sujets aux caractéristiques physiques et psychologiques en plein développement, en plein  inachèvement.
L'autodétermination genrée des mineurs vous laisse sceptique ? Et davantage encore l'impatiente emprise médicale sur leur corps ? Aucun doute, vous êtes transphobe. Honte à vous.

L'intérêt supérieur de l'enfant constitue en principe une considération primordiale dans toute décision le concernant, notamment pour lui assurer un environnement favorable à sa santé mentale et physique.
Des mineurs ressentent un malaise sur leur identité sexuelle ? Rêvent d'en changer ?
Aussitôt dit, aussitôt réalisé : dare-dare, les petits, goinfrez-vous d'hormones, de produits chimiques. Pourquoi attendre, pourquoi patienter, pourquoi réfléchir ?
L'intérêt de l'enfant, on vous dit. Quel progrès. 
 
• Pour les hommes 
 
D'accord, les "personnes à prostate" rencontrent moins d'adeptes que les "personnes à utérus". Ces messieurs disparaissent moins que leurs compagnes. Où vont se nicher les privilèges masculins...
 
Ok, les hommes transgenres (nés femmes) ne se bousculent pas pour affronter en compétition sportive des mecs nés avec leur paire de ...chromosomes XY. Ou, en tout cas, soulèvent moins de débats houleux sur "l'inclusion".
 
En revanche, dans le domaine de la santé, les hommes aussi sont concernés par les spécificités médicales propres à chaque sexe.  
Eviter, au prétexte d'antisexisme, de reconnaître les différences liées au sexe dans la recherche médicale et pharmacologique nuit à la santé des femmes, mais également à celle des hommes, en particulier lorsqu'ils souffrent de maladies considérées à tort comme réservées aux femmes
 
En définitive, refuser les différences sexuelles biologiques contribue à ralentir les progrès de la recherche médicale au détriment de l'humanité tout entière. Quel progrès.

• Pour les homosexuels
 
L'homosexualité, attirance (non choisie) plus ou moins exclusive pour des personnes de même sexe n'a de sens qu'en présence d'une différence des sexes.
Sans cette distinction initiale, l'homosexualité perd sa raison d'être.
S'efface au profit des catégories de genre, de l'identité de genre auto-identifiée.
Dans ce contexte, en présence d'enfants apparemment fâchés avec leur sexe biologique, fuse en priorité le diagnostic du "mauvais corps", de la "dysphorie de genre" assorti de son attirail médicalisé (hormones et autres interventions chirurgicales). Tandis qu'est négligée l'hypothèse de l'homosexualité, pourtant souvent révélée à la puberté.
Au nom de la réassignation de genre, de jeunes gays et lesbiennes demeurent non reconnus, non identifiés, non admis, continuent à subir traitements hormonaux, médicaux et chirurgicaux. Comme au bon vieux temps.
Quel progrès.

• Pour les personnes transgenres

Comme tout groupe humain, il comprend des individus très divers, de personnalités et d'opinions différentes.
Certaines personnes trans affirment qu'il est possible de lutter pour les droits des trans en cette qualité même tout en déclarant admettre la binarité sexuelle et la différence biologique entre femmes ou hommes d'une part, femmes trans (nées hommes) ou hommes trans (nés femmes) d'autre part. 
Aussitôt, voilà ces "mauvais" trans accusés de... transphobie.
Notamment par de nombreuses associations de "bons" trans, ardents militants contre toute référence à la dualité sexuelle biologique, à toute différence biologique entre hommes et femmes, et pour la possibilité de se définir homme ou femme sur simple déclaration.
Ces activistes, très batailleurs, très revendicateurs, très organisés, occupent le devant de la scène médiatique et des réseaux sociaux où il imposent leurs thèmes de prédilection depuis des années.
Ce militantisme omniprésent a non seulement neutralisé toutes opinions divergentes taxées de transphobie et de conservatisme (comment osez-vous...), mais surtout détourné et étouffé le débat initial sur les discriminations, brimades et maltraitances subies par de nombreuses personnes trans.
Quel progrès.
 



Prétendre faire disparaître toute base biologique à l'identité sexuelle, effacer la binarité sexuelle, la transformer en épouvantail réactionnaire, ne libère personne, ne protège personne, au contraire.
La dualité sexuelle n'est pas une oppression, une domination, au contraire.
Elle écrit la partition initiale à partir de laquelle peuvent se mettre en musique toutes les variations de genres, toutes les identifications possibles, toutes les combinaisons imaginables.
Des hommes plus ou moins masculins, plus ou moins féminins, aux orientations sexuelles variées. Des femmes plus ou moins féminines, plus ou moins masculines, aux orientations sexuelles diverses. Des genres brouillés, inversés, transgressés.
Un sexe mâle, un sexe femelle, tellement de possibilités.
Ne les faisons pas disparaître !




2 commentaires:

  1. un sujet complexe...
    Je comprends le besoin des personnes qui ne se sentent pas reconnues dans leur identité sexuelle/de genre, mais effectivement il est incompréhensible de vouloir balayer une réalité biologique, a fortiori sur fond de politique.
    Selon le site même du gouvernement, les enfants intersexes représentent 1,7% des naissances. Nous pouvons donc bien parler d'une dualité homme/femme, le nombre d'intersexes étant bien moins important.
    En ce qui concerne la transidentité, autant je peux comprendre qu'une personne ne se sentent pas homme ou femme, autant on ne peut pas nier la réalité biologique de la personne : si on nait XX ou XY, indépendamment de notre identité de genre, c'est une réalité qu'on ne peut pas nier.
    On peut très bien lutter pour la reconnaissance des personnes LGBT, de lutter contre les discriminations subies par cette population, sans pour autant nier la biologie elle-même.

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  2. Merci Jorda pour ton commentaire.
    Tu as raison, combattre pour la reconnaissance - nécessaire - des droits des personnes LGBT ne peut être confondu avec une négation des réalités biologiques.

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