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"Mademoiselle", ou l'âge des femmes

 Longtemps, j'ai tourné autour du terme "mademoiselle". En parler dans le blog, ou pas ? Jusqu'au jour où je suis tombée s...

#MeToo et la parole libérée : les victimes masculines muselées


La pause estivale s'achève.
Il est temps de plonger dans la vague #metoo !








Que dis-je, le "tsunami", le raz-de-marée !
Une tempête qui a provoqué une "rupture historique majeure", une "rupture sociétale", un "événement historique"
Et j'en passe.
Vous n'habitez probablement pas sur Mars, ni dans un caisson hermétique.
Vous savez donc que cette déferlante #metoo a contribué à libérer la parole des femmes victimes de divers abus sexuels.
Voilà un effet positif.

Doublé d'un effet collatéral :
Verrouiller la parole des victimes masculines, à double tour.
On peut estimer cela formidable. Ou pas.


nouveaux papas et vieux clichés

Cet été, j'ai passé la majeure partie de mes vacances dans le sud de la France (je sais, c'est d'une folle originalité).
En général, durant cette parenthèse estivale, je lis la presse régionale.
Nouvelles locales, information, détente.

Une fin de semaine, j'attaque "Femina", l'un des suppléments week-end de "Nice-Matin" (quotidien diffusé dans les Alpes-Maritimes).
En couverture, un article m'accroche l'oeil : "Ces pères qui réinventent leur rôle". Dans les pages intérieures, le titre devient "Les nouveaux papas ne sont pas des mamans bis".
On n'en finit plus de découvrir des "nouveaux papas", mais je lis tout de même pour découvrir ce que ceux-là ont dans le ventre.
J'émerge de ma lecture pour le moins crispée, irritée. Adieu la détente !


Pourtant, au début, cela commençait bien. Ou pas trop mal.